Série de pauses-café virtuelles sur la diversité et l’inclusion, avec Kero Saleib

Notre prochaine séance de pause-café D&I met en vedette Kero Saleib, gestionnaire de programme, spécialiste de l’EDI et expert en communication marketing, NGen Canada, sur la 2SLGBTQIA+ et l’inclusion du VIH sur le lieu de travail.

Rejoignez-nous pour un webinaire stimulant alors que nous explorons une question essentielle : Les entreprises sont-elles inclusives envers les employés 2SLGBTQIA+ séropositifs ?Cette séance vise à explorer le niveau d’inclusion au sein des lieux de travail pour les personnes s’identifiant comme 2SLGBTQIA+ et vivant également avec le VIH/SIDA. Nous examinerons les politiques, les pratiques et l’environnement de travail global de l’entreprise pour évaluer le niveau de soutien offert à cette population spécifique. Grâce à des discussions engageantes, des exemples concrets et le point de vue d’un « présentateur », nous identifierons les domaines à améliorer et les stratégies pour garantir un traitement égal et respectueux à tous les employés.

La série de pauses-café virtuelles est présentée par CKN, SAMPE Canada, CACMSA et CREPEC. Les sujets incluront l’importance de la D&I, le mentorat, l’alliance, comment rendre votre lieu de travail plus inclusif, les préjugés inconscients, et plus encore.

Bio:

Kero Saleib (ils/eux-il/lui), est un Canadien d’origine égyptienne, non binaire, queer, séropositif et doté d’une résilience pour la vie. Ils travaillent depuis plus de 12 ans dans le secteur du VIH/SIDA à titre de coordonnateurs de programmes et de conseillers en santé mentale, en santé sexuelle et en toxicomanie. Ils sont les fondateurs du seul parti queer du Moyen-Orient au Canada où ils peuvent faire ressortir leur personnage de drag, KeroPatra InDenial.

Kero travaille désormais dans le secteur manufacturier en tant que responsable de l’équité, de la diversité, de l’inclusion et de l’accessibilité, apportant les défis, les changements et la mise en œuvre des politiques nécessaires aux fabricants, les aidant à combler les lacunes en travaillant et en embauchant de nouveaux arrivants dans la main-d’œuvre qualifiée. « Un Kero à tous les métiers n’en maîtrise aucun, mais il est souvent meilleur qu’un maître dans un seul. »